Nous sommes en 1975 et Laurence Olivier commence la journée dans sa suite d’hôtel à New York. Se remettant d’une série de maladies mettant sa vie en danger, il craint de ne plus jamais travailler. Mais un coup de téléphone du réalisateur John Schlesinger a banni ses craintes. Le rôle proposé est celui du sinistre Nazi Christian Szell. La co-vedette d’Olivier est Dustin Hoffman et le film «Marathon Man».
Ce one-man show, écrit par Mark Burgess et interprété par Keith Drinkel, nous plonge dans l’univers privé et professionnel d’une icône du théâtre britannique et de l’un des plus grands acteurs de théâtre classique de tous les temps.